outfit ㅡ Les pas sont saccadés, peu rythmés. La respiration est partagée, mais grâce à un entraînement nécessaire, l’essoufflement est encore loin. S’accrocher et se soulever, passant son corps au-dessus de caisses entreposées, se cacher quelques seconds derrières plus abîmés. Il lève quelque seconde la tête avant de l’abaisser aussitôt, évitant un coup de feu malheureux. Un soupir s’exhale de ses lèvres avant de passer de l’autre côté après un lourd fracas.
Les babines du Corbeau se redresse avec une badinerie aucunement dissimulée, riant à gorge déployée face à l’incrédulité de l’homme mis à terre par une femme. Sortant son arme et pointant le front du somnolent, ses mots se font durs « Sous-estime quiconque est à tes côtés et la mort est assurée. Elle ne fait jamais de différence, la plus cruelle. » Bang. Bang. Bang.
Satisfaction primaire en reculant de quelques pas. Ses paroles étaient autant adressées au cadavre qu’à la jeune femme se tenant près de lui. « Tu n’en vois pas de belles aujourd’hui, Cho. Mais il est parfois nécessaire de couper les pattes plutôt que la gueule. Au moins, le cri indique la position. » , haussement de sourcil narquois, quoi qu’un brun plus sérieux soudainement. Et pour cause.
Il ne retrouve toujours pas le maudit vautour qui se croit tout permis en saccageant les plans du patriarche. Des doutes surviennent depuis l’attaque du petit prince doré, ne l’enchantant aucunement. « Enfin, laissons le reste aux autres et suivons la piste. ». Ce gamin n’est pas venu dans ce lieu par hasard, Adonis en est convaincu.« Les traces de pneus au sol sont récentes, les caisses sont vides… donc il doit bien y avoir quelque chose ici. », il en est certain.
Une transaction a eu lieu, cependant, quelques indicateurs près des murs lui font penser que la pièce ressemble davantage à une activité régulière qu’une planque fortuite. D’un signe de tête, il indique à la jeune femme de fouiller aux alentours. Quant à lui, le plus âgé se penche pour dégoter quelques billets des poches du cadavre, ainsi que des clés. Il les soulève joyeusement en direction de son interlocuteur. « Voyons où cela nous mène, ma chère Valkyrie. »
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Re: ㅡ death follows us, ft Cho Jeu 17 Déc - 22:06
Cho & Adonis
Je me trouvais au sein du Panthéon depuis un certain temps en étant garde du corps des personnes qui travaillaient dans le coin visible qui contenait des personnes qui travaillaient de manière honnête sans savoir qu'en réalité se trouvait une partie invisible qui contenait des membres de la mafia dont moi-même j'en faisais partie en étant surnommé la Valkyrie ! Je me trouvais de temps en temps à l'entrée de l'établissement, mais en réalité mon rôle était de protéger certains d'entre eux quand ils se retrouvaient dans une situation dangereuse comme en ce moment en compagnie de notre Patriarche.
Cette personne me donnait cet impression de servir de leur en attendant mon approche discrète envers cette personne pour le mettre à terre par la suite ! Il était préférable de s'y rendre à deux en général en sachant que ce n'était pas difficile en ce qui me concernait comme ce n'était pas notre pire ennemi étant donné que nous en avions pas tiré grand chose pour le coup. J'écoutais mon boss prendre la parole, puis celui-ci venait de tiré quelques balles afin d'abattre cet homme. Il prenait à nouveau la parole en me visant au passage au niveau d'en voir des belles en ce moment sauf que cela ne me dérangeait pas même s'il est clair que ça allait contre mon père qui était dans la police sauf que celui-ci n'en savait rien du tout concernant ce travail en arrière plan.
- J'ai l'impression que mon boss est en train de vérifié si cela se passe bien de mon côté et c'est tout à fait le cas étant donné que cela ne me dérange pas de voir une personne mourir devant mes yeux en sachant que c'est nécessaire pour éviter que cela parle derrière notre dos.
Je m'étais éloignée du corps afin de regarder cet endroit qui contenait des traces de pneus récents ainsi que des caisses vides qui avaient du être décharger pour se retrouver dans un autre environnement et cela me donnait l'impression que ces gens étaient clairement des personnes qui venaient à cet endroit de manière régulière ... Adonis me montrait des clés en me sortant que nous devrions voir ou cela nous mène et cela me plaisait quand celui-ci me surnommait Valkyrie ! Je trouvais que ce pseudonyme me convenait parfaitement !
- J'ai le sentiment que nous allons dans la gueule du vautour au fur et à mesure, mon cher Atropos !
Je commençais à avoir un petit sourire amusé sur le visage parce qu'en général c'était mauvais signe de se retrouver dans la gueule de notre ennemi sans prévoir quoi que ce soit, mais c'était impossible d'ignorer ces indices qui étaient évidente à nos yeux !
- J'espère que mon ami est prêt à la suite des événements parce que cela va se corser petit à petit... J'ai le sentiment que des renforts seront peut-être nécessaire pour nous aider dans notre poursuite, mais en attendant découvrons ce qu'il en est de ses clés et continuons de regarder dans les environs en sachant qu'une porte se trouve vers le fond.
Je me dirigeais vers la porte avec un pas méfiant, car nous pouvions nous attendre à tout dans ce genre de situation.
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Re: ㅡ death follows us, ft Cho Sam 2 Jan - 20:49
| death follows us
Le trousseau est sans grande particularité. À première vue, les différentes clés semblent ouvrir des portes, sauf deux. L’allure est véritablement singulière, aux pourtours édentés d’une manière peu conventionnelle. Cependant, ni la jeune femme à ses côtés, ni le patriarche ne saurait émettre une hypothèse sans foncièrement en douter. « Je ne pense que ce trousseau correspond à cet endroit, cela serait trop simple. » , mais il hausse les épaules avec nonchalance et pose ses phalanges contre la poignée de porte.
Cling.
Elle s’ouvre doucement, n’ayant pas été fermée à clé. « Le cadavre a dû venir d’ici, quand il était encore capable de respirer. Enfin, change de gants ma Valkyrie, nous avons besoin d’effectuer quelques recherches. » Et lui-même effectue sa demande. Ils s’engouffrent alors à pas de loup, chacun prenant un pan de mur afin d’éviter les surprises frappantes ou impactantes. Adonis s’abaisse légèrement, l’oreille affûtée. Il échange un regard avec son interlocutrice et mime un mouvement en direction d’une porte.
Et, avec grand fracas, une porte s’ouvre à la volée. Les regards se croisent et leurs esprits se mettent furtivement en place. Le Corbeau laisse le soin à sa compagne de courir après sa proie du jour pour bifurquer en direction de ce que la personne à quitter. Une large pièce, mais plongée dans le noir. À tâtons, il appuie sur l’interrupteur une fois trouvé et hausse les sourcils devant le spectacle présenté. Son visage n’exprime aucune expression, seules ses pupilles brillent intensément.
Des tableaux peints avec minuties, d’une élégance et réalisme troublant. Des danseurs, des peintres. Des ailes, noires et blanches. Surplombé par un lustre aux allures trop enrichie pour le lieu miteux qu’ils arpentent à l’heure actuelle. « Oui, une mise en scène. ». , dit-il simplement en entendant le pas familier de Cho revenant de sa course. Il secoue la tête d’un air distrait, concentré sur les illustrations. « Il connait mieux les lieux que nous, il a dû emprunter un passage qui n’était pas sur les plans. Mais j’ai quelqu’un sur le coup. », un petit en fin de formation, paraît-il.
« Ce bâtiment n’est pas choisi au hasard, nous sommes plusieurs à avoir des yeux dessus. Pour son emplacement stratégique dirait-on. Seulement, peu de croquis sont sortis, de quoi laisser des trouvailles ici et là qui n’attendent que nous. », il se tourne vers le membre de Panthéon. « Il va falloir être prudent sur ce qui va suivre. Cela est davantage labyrinthique et il me connait. Mais pas toi, ma très chère Valkyrie. » Un sentiment de complaisance afin d’atténuer l’incertitude.
Le patriarche fait le tour de la pièce, pinçant parfois les lèvres face aux rois sur ce trône sombre ou un danseur aux bras levés, comme s’il s’envolait. « Qu’as-tu vu, pendant ta poursuite ? N’émets aucun détail : portes, fenêtres, passages, étages, sous-sol. Même le décor. Nous n’irons pas forcément au même endroit aujourd’hui, ta réponse peut décider d’où nous nous déplacerons pour débuter. ». Mais il ne se sent pas en insécurité, puisqu’il sait que d’autres membres sont cachés ici et là, attendant un signal, ainsi qu’un petit renard très doué pour dénicher les emplacements informatiques.
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